Allianz Arena
[vc_row][vc_column][vc_column_text]L’allianz Arena s’est construit du 21 octobre 2002 au 30 avril 2005. La cérémonie d’ouverture s’est faite le 31 mai 2005. En quelques jours d’intervalle, l’allianz a vu 2 match :
– Bayern Munich vs Munich 1860 : 0 – 1
– Bayern Munich vs Allemagne : 4 – 2
ALLIANZ ARENA
L’Allianz Arena, surnommé le « Schlauchboot » (canot pneumatique) en raison de son aspect, est le nom du stade au évolue aujourd’hui le Bayern München. Le stade a une capacité de 69 901 places, dont 66 000 places assises. Les architectes principaux sont Jacques Herzog et Pierre de Meuron. Son coût de construction s’élève à 340 millions d’euros. Le groupe Allianz, assureur allemand, a en partie financé ce coût en échange du nom du stade.
Sa façade brille de trois couleurs: blanc pour les matchs internationaux, rouge pour ceux du Bayern Munich, et bleu pour le TSV Munich 1860. Depuis la saison 2005/2006, le Bayern München et le Munich 1860 jouent leurs matchs à domicile dans ce stade.
Le stade est nommé FIFA World Cup Stadium Munich lors de la coupe du monde 2006, parce que le FIFA ne permet pas la publicité des stades. Pour les mêmes restrictions, le stade portera le nom de Munich Arena lors des compétitions organisées par l’UEFA.
La façade de l’Allianz Arena est constituée de 2 874 coussins d’air maintenus gonflés par un flux constant d’air sous pression. Ces panneaux transparents sont des polymères de 0,2 mm d’épaisseur, très résistants et non inflammables. Ils peuvent être illuminés indépendamment les uns des autres d’une lumière blanche, rouge ou bleue. La surface des coussins est constellé de petits trous servant à la diffusion de la lumière projetée par les néons. Cela permet d’obtenir une couleur uniforme. Cette façade transparente a pour principal avantage de laisser passer les rayons du soleil, indispensables pour maintenir la qualité de la pelouse.
Quatre-vingt-seize cadres d’acier et de béton soutiennent l’ensemble, arrangés de manière concentrique autour du terrain. La toiture comprend 9000 tonnes d’acier.
Stadion Leopoldstrassena | |
Grünwalder Strasse
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Olympiastadion | |
Alianz-Arena
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Six ans avant les Jeux Olympiques de 1972, rien n’est prêt. Le site olympique n’est qu’un vaste terrain de trois kilomètres carrés, à quatre kilomètres de la ville, que l’on appelle l’Oberwiesenfeld. Autrefois utilisé pour des exercices militaires, puis comme aéroport dans l’entre-deux-guerres, le lieu sert en 1945 à y déverser les ruines de la ville bombardée, le tout créant une véritable colline artificielle de 60 mètres de haut. Dès 1967, un concours architectural départage plusieurs candidats et désigne le cabinet de Günter Behnisch, à Stuttgart, pour l’aménagement du lieu. La surprise est de taille, tout le monde voyait le magnifique projet de Werner March, architecte du complexe berlinois des J.O. de 1936, l’emporter haut la main, avec sa majestueuse arène de 90 000 places. Mais le projet de Behnisch tire mieux parti de l’ensemble du terrain, et est axé autour d’une idée novatrice: des tentes élaborées par le grand Frei Otto, des toits tendus (un treillis de câbles supportant des carreaux de verre) au-dessus des bâtiments, dans une impression d’harmonie avec les alentours boisés, et de légèreté structurelle. Le tout est alors à la pointe de la modernité, techniquement et esthétiquement, grâce à la contribution de Frei Otto, inspirateur de l’architecture biomorphe. Mais l’aménagement du terrain est également entièrement repensé. La colline, renommée Olympiaberg, sert ainsi de support au projet, et à ses pieds un lac de 80 000 mètres carrés est creusé afin de créer un ensemble harmonieux : le paysage entier est remodelé avec l’aide du professeur Grzimek, de Cassel.
L’Oberwiesenfeld reçoit la majeure partie des équipements nécessaires : le stade olympique, plusieurs gymnases, une piscine, des courts de tennis. Mais en plus des équipements sportifs, le village olympique y est également situé, de même que le centre de presse et les hébergements des journalistes, ainsi qu’une scène en plein air, sur les rives du lac, pour recevoir concerts et manifestations touristiques. Enfin, le symbole des jeux est l’Olympiaturm, une tour de 290 mètres de haut, exemple de modernité, au sommet de laquelle un restaurant fait l’enchantement des spectateurs et des journalistes, grâce à la vue lointaine des Alpes bavaroises et de la ville de Munich. Les travaux de l’ensemble progressent vite : la tour est ouverte en 1968, les travaux du complexe sportif débutent dès 1969, les toits de tente sont tendus en 1971, l’Olympiastadion est inauguré le 26 mai 1972 par un match de football entre la RFA et l’URSS (4-1). Tout est prêt pour l’ouverture des jeux le 26 août 1972, devant 80 000 personnes (le record d’affluence du stade). La flamme est allumée par l’athlète allemand Günter Zahn.
L’Olympiastadion a été régulièrement le cadre de grands événements sportifs, que ce soit au plan national ou international. Ses travées ont vu défiler quelque cinquante millions de spectateurs en 32 ans. Sa pelouse de 105 mètres de long pour 68 mètres de large est pourvue d’arroseurs automatiques et d’un système de chauffage. Aujourd’hui, la capacité du stade a été réduite à 63.000 spectateurs. Outre les Jeux Olympiques de 1972, le stade Olympique restera également dans les mémoires comme le stade dans lequel la R.F.A. a remporté, le 7 juillet 1974, la finale de la Coupe du Monde de la FIFA en surclassant les Pays-Bas, pourtant largement favoris. La génération hollandaise suivante garde un meilleur souvenir de l’Olympiastadion : c’est en effet ici que les Pays-Bas ont battu l’U.R.S.S. 2-0, en finale de l’Euro 88. La fantastique reprise de volée de Marco van Basten en pleine lucarne n’a pas fini de faire parler d’elle.
En 1993, l’Olympique de Marseille remporte la finale de la Ligue des champions face au Milan AC grâce à un but du défenseur Basile Boli. Quatre ans plus tard, c’est le Borussia Dortmund qui remporte cette même épreuve en battant la Juventus Turin (3-1). Au fil du temps, le stade Olympique a vu défiler les meilleures équipes du monde. Les clubs les plus prestigieux comme l’Inter Milan, le FC Barcelone, le Real Madrid et Manchester United sont tous venus défier le Bayern Munich dans son antre. Les plus grands artistes ont également défilé sur cette pelouse, dont Diego Maradona, en demi-finale de la Coupe UEFA 1988/89 avec Naples.
Mais cette pelouse chargée d’histoire n’est plus témoin des exploits des meilleurs joueurs. Le Bayern Munich a en effet déménagé à l’orée de la saison 2005/06 pour s’installer au nouveau Allianz Arena, situé au nord de la ville. Le Bayern München partage une grande part de son succès avec l’Olympiastadion : 18 titres de champion, 11 Coupes d’Allemagne, 4 Coupes d’Europe des clubs champions ou Ligue des champions (1974, 1975, 1976 et 2001), et le titre de Champion du Monde des Clubs en 1976 et 2001., sans oublier la coupe de l’UEFA en 1996.
L’allianz arena à acceuilli la finale de la champions league 2012, qui a vu se confronter le bayern munich et chelsea. Le Bayern dans son stade a failli gagner mais helas, apres 1 – 1 dans le temps reglementaire, le bayern perda aux penaltys.
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