Guardiola/Ancelotti, quels bilans ?
Une image qui résume la situation actuelle : un Guardiola qui indique le chemin de la sortie à Carlo Ancelotti et un Carlo Ancelotti qui ne sait plus à quels saints se vouer… Depuis le limogeage de l’italien, l’ombre de Guardiola plane à nouveau sur la Säbenerstrasse et les comparaisons fleurissent.
Une image qui résume la situation actuelle : un Guardiola qui indique le chemin de la sortie à Carlo Ancelotti et un Carlo Ancelotti qui ne sait plus à quels saints se vouer… Depuis le limogeage de l’italien, l’ombre de Guardiola plane à nouveau sur la Säbenerstrasse et les comparaisons fleurissent. Globalement, les 2 techniciens présentent des statistiques quasi similaires, le premier remportant 3 titres nationaux en 3 ans, contre 1 à Ancelotti en 14 mois. En LDC, le catalan échouera 3 fois en 1/2 finale avec des défaites restées cuisantes. L’italien a lui échoué en 1/4, en faisant armes égales avec le Réal futur vainqueur.Si Ancelotti avait éliminé le Réal (le Bayern version Ancelotti aura été une des rares, si ce n’est la seule, à faire douter les hommes de Zidane), Ancelotti aurait pû remporter la LDC dès sa première saison et cela aurait tout changé. Le board aurait été encensé pour le choix initial d’Ancelotti, Ancelotti auraot réussi là où Guardiloa a échoué pendant 3 saisons… Ne l’oublions pas.
Guardiola a enregistré plusieurs matchs références (dont la 1/2 retour, face à Atlético en 2016), alors qu’il est difficiled’en trouver un pour l’italien qui laissera peu de traces en Bavière au final. Guardiola aura également (aux dires des joueurs eux même) énormément fait progresser le groupe et de nombreux joueurs avec une science passionnée qu’il aura inculquée à tout un club.Ancelotti, lui, aura poursuivi sur la lignée de son illustre prédecesseur tout en faisant regresser le quasi même groupe en proposant un schéma tactique dépouvu d’imaginations et terne. La question qui reste posée est : C Ancelotti était il l’entraineur qu’il fallait pour succéder à Guardiola ? Peut être. Mais avec la stratégie du club en matière de transferts, l’erreur de casting ne faisiat plus de doute. Mais accabler le techncien transalpin serait réducteur, le board ayant une énorme responsabilité dans cet échec global, qui fait aujourd’hui vaciller le colosse munichois…
On parlait depuis longtemps d’anticiper l’après « Robbery ». Avec le départ d’Ancelotti et l’arrivée ¨d’un nouveau coach (allemand ?), le changement c’est maintenant !