Le Bayern est il dégradé ?
« Le Bayern s’est dégardé » : c’est le titre du journal l’Equipe ce matin qui revient sur la défaite du Bayern hier.
Ce matin, le Bayern a cédé sa place de leader qu’il occupait sans discontinuer depuis 39 journées consécutives (09/2015). Un certain malaise plane chez les bavarois à l’image d’un Thomas Müller toujours aussi fantomatique qui a refusé de parler au point presse après la recontre…
La « perte de compétitivité » du Bayern est montrée du doigt, précisant que l’équipe de Carlo Ancelotti n’est pas à la hauteur de celle de son précédesseur Pep Guardiola, en ne remportant que 2 de ses 6 derniers matchs de championnat, sans oublier la défaite incontestable face à l’Atlético Madrid en CL.
« Le Bayern s’est dégardé » : c’est le titre du journal l’Equipe ce matin qui revient sur la défaite du Bayern hier.
Ce matin, le Bayern a cédé sa place de leader qu’il occupait sans discontinuer depuis 39 journées consécutives (09/2015). Un certain malaise plane chez les bavarois à l’image d’un Thomas Müller toujours aussi fantomatique qui a refusé de parler au point presse après la recontre…
La « perte de compétitivité » du Bayern est montrée du doigt, précisant que l’équipe de Carlo Ancelotti n’est pas à la hauteur de celle de son précédesseur Pep Guardiola, en ne remportant que 2 de ses 6 derniers matchs de championnat, sans oublier la défaite incontestable face à l’Atlético Madrid en CL.
La méthode Ancelloti, la transition, peine à se mettre en place côté bavarois et bon nombre de joueurs ne sont pas (plus) au niveau de performance attendu. Fini les étourdissantes combinaisons, fini la possesson de balle rendant le Bayern injouable, fini les schémas tactiques surprenants.
Mais c’est peut être Thomas Tuchel qui met le doigt sur les profonds enseignements de cette Bundesliga 2016-2017: « le Bayern ne domine plus comme avant son sujet et si Leipzig était le Leicester d’Allemagne ? » On peut effectivement s’interroger tant le promu montre de qualités et de constance…